Les Bureaux de sécurité publique autour de moi

Consternante est leur incompétence : j'ai reçu courrier de majorations de retard puis dernier rappel avant passage d'un huissier (que j'attendais avec plaisir, au moins, j'aurais eu quelqu'un en face car l'URSSAF se retranche derrière la dématérialisation qu'elle ne sait pas gérer ) A jour de mes cotisations (que je suis sur un tableau Excel avec toutes les formules " à la con" qu'ils appliquent sans même les comprendre). Il a fallu que je les mette face à leur incohérence via un échange sur le site (qu'ils ont effacé vu le contenu !!) pour qu'ils stoppent. . Aujourd'hui, je reçois les régularisations 2018 et là, je me demande s'ils se rappellent les règles des signes + et - dans les opérations apprises en élémentaire. Un surplus versé devient une majoration dans mes cotisations provisionnelles 2019 ;-)) Bref, je vais encore perdre du temps sur mes 70h hebdo pour leur demander des explications (ils en ont, eux, du temps !). Merci pour la prise d'otage..et Merci Excel pour surveiller leurs erreurs de calcul !!

Ce qui est formidable avec l'URSSAF et toutes ces institutions c'est leur droit de vie ou de mort. C'est proprement scandaleux. Ce fonctionnement est une forme de communisme dans lequel des institutions ont droit de vie ou de mort sur vos entreprises. Ces mêmes institutions qui vous fonctionnent avant même d'avoir gagné 1 euro. Des Directeurs qui touchent dans les 10 000 nets par mois, une multitude de cadre qui palpent dans les 5 000 et tout ce petit monde en décalage total avec les entreprises les flinguent les unes après les autres. Ces mêmes organismes qui vous expliquent la vie alors qu'ils ne connaissent pas le fonctionnement d'une entreprise. Ce système date d'une autre époque et tant qu'ils existeront entreprendre en France sera trop difficile. Entrepreneurs tirez vous de ce pays pour créer de la richesse et de l'emploi ailleurs. Fuyez ce système de racket organisé et de magouilles.

Au vu des commentaires, j'imagine que j'ai eu beaucoup de chance car j'ai appelé le service, je n'ai pas attendu plus de cinq minutes et je suis tombée sur un monsieur très gentil qui a su répondre à ma demande. Il s'agissait d'une information sur ma déclaration de création d'entreprise. J'ignore si je serai aussi satisfaite à l'avenir mais pour le moment, je n'ai pas eu de problèmes. À voir sur le long terme.

J ai écris une lettre en LR AR car je ne pouvais pas m'inscrire sur le site, une personne au téléphone m'a dit de retourner au greffe du Tribunal, sur place on m'a dit que j'etais bien en micro entrepreneur mais il y avait un bug avec l'urssaf j ai eu un nouveau n° que j'ai transmis à l'urssaf et aujourd'hui on me réclame encore des sommes d'argent à l'aveugle. Je suis agent commercial immobilier et pas agent commerçant ???????? Laurent Rontey

L'URSSAF, la pire institution de France. Désagréables, mal aimable, malhonnêtes, inefficaces. travail truffé d'erreur, mettent des mois à rembourser leurs dettes et se trompes sur les valeurs... Surtout l'URSSAF aquitaine qui est de loin un des pires des France. Malheureusement vous ne pourrez pas les fuire. Il est temps de réformer cette institution qui nuit aux entreprises françaises et à l'économie du pays.

Très agréablement surprise ,je n' ai pratiquement pas attendu ,la personne qui m a répondu a été très professionnelle...merci.Ceci méritait d être souligné !!!!

Malgré un numéro téléphonique surtaxé, je trouve le personnel très aimable, patient, à l'écoute, qui ont, pour ma part, toujours trouver des solutions rapidement. Merci.

Un service public comme un autre!

dégueulasse. Apres 12 minutes au téléphone , raccrochage au nez... deux fois

Des implacables !

La Police Municipale de Fronton est à l'écoute des citoyens et consciencieuse.

Un grand merci. Très bon accueil lors d'un contrôle. La policière était à l'écoute et bienveillante. Elle était dans une attitude de prévention. Ses arguments et ses conseils étaient très pertinents. Elle nous a permis de prendre conscience de certains dangers de la route à moi et à ma fille.. .